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10/11/2006

SANTORIN 4

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Un bonjour de Mamita
Bon je vois que vous n'aimez pas la foule, moi non plus mais quand on s'ytrouve, bon je referais plus.!!!!!!!!! J'étais juste venue vous faire un petit bonjour mais vous ne m'avez sans doute pas vue alors je m'en vais. Il est vrai que j'étais là incognito. A suivre!!!!!!!!medium_24_Mai_au_15_Juin_06_100.jpg

05:10 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (24)

Commentaires

La symphonie et blanc et bleu ...... superbe!
Mon billet d'hier, on peut appeler ça de la non-info, on a tout oublié dès la fin de la lecture :o)
Bonne journée Mamita.

Écrit par : passion de tout | 10/11/2006

Que de merveilles ! j'ai besoin d'une baguette magique pour me télétransporter ! merci pour ce partage ! Bonne continuation!

Écrit par : chiffonnette | 10/11/2006

Jolies photos, et beaux paniers....
moi non plus je n'aime pas la foule.

Écrit par : patricia | 10/11/2006

Trés bonne journée et...(suis allé chez Framboise)

http://jeromeducros.blog4ever.com/blog/lesphotos-6443-23142.html

Écrit par : Louis-Paul | 10/11/2006

les paniers de legumes sont tres beaux.
toujours d'aussi beaux panoramas.

Écrit par : Olivier | 10/11/2006

Monde ou pas monde, j'aimerai flâner dans ces ruelles de ce beau pays.

bisous de zibulinette

Écrit par : Zibulinette | 10/11/2006

Je viens régulièrement sur ton blog et c'est grand plaisir d'y "voyager". Là, présentement, çà fait du bien d'y voir le soleil alors que le froid s'installe chez nous. Merci pour tes commentaires sur mon blog. Il fallait bien que je te rende la pareille quand même. Promis je ferai un effort pour laisser davantage de traces de mon passage sur ton site.
Bisous et bon week-end.
Jean-Claude

Écrit par : touchatout | 10/11/2006

Je suis surement passée par là...
bonne soirée

Écrit par : lory | 10/11/2006

Toujours merci pour les photos...

Écrit par : mamina | 10/11/2006

De jolies photos, cela donne envie de s'y rendre !

Écrit par : guylaine | 10/11/2006

Dis Mamita, sur les escaliers, ce sont des couronnes décoratives ou des paniers, quoiqu'il en soit c'est sympa comme déco!

Écrit par : tatyval | 10/11/2006

La photo avec les paniers sur les marches est très belle !!! Bisous Mamita. Kronik a fait une bien belle note !!!!

Écrit par : kipik | 10/11/2006

Coucou Mamita, je t'ai vue bien sûr, avec ton joli chapeau pour te parer du soleil ! Bisous

Écrit par : Pralinette | 10/11/2006

j'ai aperçu mamita aussi!!!
dis explique nous ces jolis paniers sur les marches...
bizzzz

Écrit par : dite | 11/11/2006

=== Bonjour à tous et toutes, les paniers sont la présentation des légumes dans un restaurant. Il est vrai qu'en Grèce et Turquie les étalages de légumes et fruits sont merveilleusement présentés. Bonne journée.

Écrit par : mamita | 11/11/2006

C'est pentu ce coin ! Bisous.

Écrit par : KroniK | 11/11/2006

Que c'est joli cet escalier fleuri !
Chez toi c'est l'évasion assurée et l'été se prolonge...

Bon weed-end mamita.

Écrit par : Pénélope | 11/11/2006

Ici il pleut chez toi c'es le soleil.....

Écrit par : bonaventure | 11/11/2006

Grâce à toi, je retourne là-bas. Tiens cette photo, j'ai quasiment la même !

La foule ? Parfois j'aime bien m'y mêler, m'y plonger. Ce qui ne m'empêche pas de m'éloigner à d'autres moments.

Merci pour ce soleil.

Bon week-end.
Bises.

Écrit par : Dean | 11/11/2006

Toutes ces éclatantes couleurs alors que l'hiver arrive ( doucement il est vrai..) chez nous donnent des envies d'évasion !
L'escalier me plaît particulièrement.

Écrit par : Aedia | 11/11/2006

L’arrivée à SANTORINI " vaut " le voyage. Une légère brume finit de se dissiper pendant que le bateau accoste. Elle découvre progressivement un village perché, tel un nid d’aigle, au sommet du rocher abrupt. Vision inattendue. Effet de surprise garanti. Cette tâche blanche a quelque chose d’imposant et d’insolite. Il nous faut aller voir ça de plus près.
Nos esprits cartésiens ont besoin de comprendre ce qui a poussé des hommes à vivre sur ce cailloux aride. Est-ce une ancienne léproserie ? Une île aux fous ? Un bagne ?



Pour le savoir, vous disposez d’un sentier zigzaguant et d’un téléphérique.

Au pied du premier, une colonie de mulets vous attend et vous garantit 20 minutes d’un plaisir intense, parfumé d’authentique, dans les fragrances de crottin et de transpiration animale, tout en bénéficiant d’un ensoleillement maximum sans l’ombre d’une ombre.

Au pied du second, une caissière.

Nous optons pour la caissière qui transpire un peu moins. Elle libère ses touristes par vagues de 36, au rythme des allers et venues de la machine à remonter la pente dont les six cabines ne peuvent supporter davantage. Lorsque la chenille s’immobilise, les 36 compères (dont nous sommes) se jettent sur les six portes qui s’ouvrent en même temps. Mais voilà, nous sommes quatre, unis et soudés comme les doigts d’une main de scieur maladroit, comme peuvent l’être quatre explorateurs en terre inconnue. Toute séparation de l’un de nos membres serait pour nous un véritable déchirement dans cette jungle d’appareils photo et de lunettes de soleil. Nous essayons de rester ensemble, mais l’exercice, qui doit être exécuté rapidement et dans la cohue la plus totale, est difficile puisqu’il nous faut les deux tiers d’une cabine, et nous n’en trouvons jamais une assez vide pour nous. En un éclair, elles sont toutes pleines. A l’exception d’une seule, à l’autre bout du quai. Un autochtone corpulent en émerge et nous fait de grands gestes pour nous signifier qu’il y a encore de la place et qu’il faut se presser. N’ayant plus le choix, nous obtempérons, les sens en éveil, car notre subconscient nous dit qu’il y a une anomalie quelque part. Quelque chose ne colle pas. Pourquoi nous faut-il aller à l’autre bout du quai pour trouver de la place ? C’est sûr, il y a un lézard...



Non, c’est un poisson. Un énoooorme poisson. Presqu’ aussi gros que son propriétaire qui le sert contre lui pour éviter qu’il n’occupe trop de place. Les vêtements d’Ordralfabétix sont trempés et l’on ne saurait dire si cela est du à la transpiration de l’animal ou à la sienne. Car nous sommes proches de l’ébullition dans cette minuscule cabine en tôle et mal aérée. Vous pensez, il fait plus de 45° à l’extérieur. Alors dedans ! L’odeur infernale du couple nous fait jeter un regard nostalgique en direction des mulets que nous survolons. Heureusement, l’atterrissage est pour dans trois minutes. Le fou-rire nous reprend...



Le village de SANTORINI est plus beau vu d’en bas que de l’intérieur. Au moins, avons-nous la réponse à notre question : le " Santorinien " ne vit que pour et par le tourisme. Nous circulons dans des rues piétonnières étroites, dont nous recherchons davantage l’ombre que les boutiques qui n’ont plus de surprises à nous offrir et dans lesquelles nous ne pénétrons que pour profiter un instant de la climatisation.



Le spectacle des maisons blanches agrippées à la falaise qui tombe sur la mer est magnifique. Toutefois, derrière cette façade de carte postale, le terrain vague n’est pas loin. Ici, près de la place, une carcasse de voiture, là, à quelques mètres des maisons, des poubelles rouillées qui vomissent leurs excédents d’ordures. Un peu plus loin encore, un clochard est allongé à l’ombre étroite d’un mur. Il a avec lui une importante quantité de bouteilles en plastique récupérées et assemblées par une ficelle grossière. Spectacle saugrenu.

Écrit par : Dan | 11/11/2006

=== Dan, c'est vrai tout n'est pas magnifique sur Santorin, mais l'arrivée même chahutée en voilier nous a éblouie!!!!!!!!!!

Écrit par : mamita | 11/11/2006

Moi aussi j'aime cette grand escalinade avec les paniers colorés. je sens l'odeur des tomates; bises et bon dimanche

Écrit par : framboise | 11/11/2006

Quelle invitation au voyage ! Sentir la caresse du soleil....

Écrit par : Gatito | 14/11/2006

Les commentaires sont fermés.