29/02/2008
FIN DU VOYAGE
FIN DU VOYAGE AU VIETNAM
Merçi a ceux qui l'ont suivi avec assiduité et beaucoup de patience.
Dans quelques jours recommenceras une nouvelle aventure.
"Le Vietnamien plante le riz, le Cambodgien le regarde pousser, le Laotien l'écoute chanter"
résume un dicton indochinois.
Dans la plaine, le riz est cultivé en rizières inondées, séparées entre elles par des digues de boue séchée.
En altitude, on façonne les pentes douces en spectaculaires terrasses.
Les champs sont tout d'abord labourés, souvent avec l'aide des buffles.
Les pousses de jeune riz y sont transplantées une à une, à intervalle régulier.
C'est un travail de moine généralement réservé aux femmes.
En quelques semaines, l'étang de boue se transforme en un sublime velours vert tendre que le vent fait frémir au moindre soupir.
Puis le champ jaunit, les tiges ploient sous le poids des grains.
Les plants sont alors fauchés et le riz non décortiqué le "paddy", est mis a sécher au bord des routes.
Et alors que les petits grains polis gagnent les marchés locaux et les ports, on s'affaire déjà aux champs en prévision de la nouvelle récolte
03:40 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (17)
27/02/2008
16 Mars 2006
Châu Dôc
Assise sur les rives du fleuve Hâu Giang, l'ancienne capitale des princes cambodgiens entrelace les cultues cham, virtnamienne, kmère et chinoise.
Un bateau hélé à l'embarcadère de Côn Tiên permettra d'explorer les alentours de la ville.
On traverse la rivière pour rejoindre un village de maisons flottantes.
Sous leurs planchers se cachent d'impréssionnants élevages de poissons.
Plus loin, les mosquées Jamiul Azhar et Moubarak dominent les hameaux de la communauté cham.
Le temple de Châu Phu est dédié a Thoai Ngnoc Hâu.
Gouverneur de la région au XVII e siècle, il fit creuser le canal Vinh Tê, traçant ainsi la frontière avec le Cambodge.
On peut suivre ses méandres pour gagner Hâ Tiên.
A suivre !!!!!!!!!!!!!!
06:06 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (24)
25/02/2008
17 Mars 2006
Cholon
Petite soeur de Saïgon son nom signifie "grand marché".
Et c'est ce qu'elle est depuis toujours, un univers affairé de gargotes, de boutiques d'antennes satellites et d'allées obscures où se cachaient jadis les fumeries d'opium.
Mis à part ses marchés, son intérêt réside dans la multitude de temples et pagodes érigées par les congrégations chinoises.
Les fidèles s'y rassemblent pour y brûler de l'encens et relacher quelques oiseaux, aprés leur avoir murmuré une prière à emporter vers le ciel.
A suivre !!!!!!!!!
03:10 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (23)