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17/05/2008

MURANO

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C'est à la fin du XIIe siècle que Murano découvrit le travail du verre. L'île était jusque là un centre marchand important où l'on exploitait les salines. Un édit de la Sérénissime va décider de son avenir ......
A suivre !!!!!!!!!!!!!!
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03:57 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : venise

Commentaires

Coucou Mamita quel bel endroit un écrin d'artistes sympa le marchand de légumes sur son embarcation. bon W-K a vous deux bissssssssous Marie André

Écrit par : Bouchaud | 17/05/2008

Super de rencontrer une barque marchand de légumes, c'est incroyable....

Bisous
Françoise

Écrit par : francoise oleron | 17/05/2008

... on se régale, belle escale à Murano ! et nous attendons la suite ... en attendant il pleut depuis deux jours, c'est bon pour le jardin, mais pas trop pour le moral ...bon weekend et bisous !

Écrit par : Jeanine et René | 17/05/2008

fantastique ,le légumier sur l'eau.
ici pluie et pluie, triste!
Bisous.

Écrit par : cristina | 17/05/2008

Belles photos, et ces couleurs vives donnent à la ville un air de gaité, de fête permanente !!

bonne journée !

Écrit par : patriarch | 17/05/2008

Chère Mamita, je me suis promené un moment sur ton blog avec beaucoup de plaisir. J'essayai de trouver la photo de SISSI notre chatte disparue, mais je ne l'ai pas trouvée.
Je vous embrasse très fort à toi et à papito.
"Le ronfleur de Cestas"

Écrit par : eric | 17/05/2008

Peut-être l'ai-je déjà racontée, mais Murano me rappelle toujours cette histoire...
Nous étions à Murano, petite propriété vénitienne, spécialisée dans la verrerie et l’arnaque des touristes...

Nous nous promenions le long des canaux, butinant de vitrine en vitrine en comparant les prix, tous très exagérés.

C’est à ce moment là (ou à peu près) qu’un canot à moteur glissa lentement vers nous, en pot-pot-potant gentiment. Il était garni d’un cameraman, de deux jeunes mariés et, peut-être, d’un pilote.

Quand je dis : “ deux jeunes mariés ”, c’est façon de parler, parce que, si la mariée était réellement jeune et belle comme le jour dans sa robe blanche de grand couturier, le marié, lui, ne devait de toute évidence, sa félicité, qu’à l’ampleur de son patrimoine.


Sa disgrâce physique, due notamment à une calvitie précoce et à des oreilles d’une superficie très supérieure à la moyenne, s’aggravait encore d’une expression bêtement arrogante.

Le temps, pour nous, d’admirer quelques vitrines supplémentaires, le couple avait accosté et passait à côté de nous, poursuivi sans relâche, par leur cameraman de service.

Alors qu’il passait près de moi, dans une précipitation que ne justifiaient pas les circonstances, j’ai nettement entendu l’homme en queue de pie péter. Oui, je l’affirme, messieurs de la cour, messieurs les jurés : le marié a pété. Sans doute, ne l’avouera t’il jamais, mais il a pété. C’est ainsi, et le cours de l’histoire, les générations futures et la climatologie n’y changeront rien !

Il est certain qu’après un pet pareil, ce marié là ne pourrait jamais revenir à Murano.

Je n’en veux pour preuve que cette histoire qui m’est revenu immédiatement à l’esprit, et qu’il me faut te conter céans pour te persuader à quel point l’avenir de cet homme est à présent compromis :

“ Un Bédouin fortuné, qui s'appelait Aboul-Hossein, décida un jour, sur les conseils de ses amis, de prendre femme. Il choisit une jouvencelle belle comme la pleine lune et, pour le jour de ses noces, il ouvrit en grand les portes de sa maison et fit servir un splendide festin. Tous les invités mangèrent et burent dans le contentement. On promena l'épouse dans toute la maison, vêtue de robes qu'on changeait à chaque passage. A la fin, les femmes l'introduisirent dans la chambre nuptiale et la préparèrent pour l'entrée de l'époux.

Aboul-Hossein entra au milieu d'un cortège. Il s'assit un instant sur un divan, avec dignité. Puis il se leva pour remercier les femmes et leur donner congé, quand soudain - calamité des calamités - il lâcha un pet qui est décrit, dans Les Mille et Une Nuits, comme “terrible et grand ”.

Toutes les femmes firent mine de parler ensemble, comme si elles n'avaient rien entendu, et l'épouse, en riant, fit résonner ses bracelets. Mais Aboul-Hossein, la honte au cœur, sortit dans la cour, sella sa jument et s'enfuit dans les ténèbres de la nuit.

Il arriva au bord de la mer, il vit un bateau qui partait pour l'Inde, il s'y embarqua.

Il avait décidé de se faire oublier dans son propre pays. Il abandonnait toute une vie.

En Inde, comme il était un individu de qualité, il se refit une vie brillante, il devint l'homme de confiance d'un roi, il vieillit riche et respecté.

Après plus de dix ans, le mal du pays le saisit. Il soupirait sans cesse en pensant à sa ville et à sa maison. Un jour il s'échappa, il se déguisa en derviche et il finit par arriver sur la colline qui dominait sa ville.

Les larmes aux yeux, il reconnut la terrasse de sa vieille maison et les maisons avoisinantes.

Il descendit de la colline et prit des chemins détournés pour arriver à sa maison. En marchant dans une rue, le cœur agité par l'émotion, il vit une vieille femme qui épouillait une petite fille d'une dizaine d'années. Et au passage, sans le vouloir, il entendit la petite fille qui demandait

- En quelle année je suis née ?

- Tu es née, lui répondit la vieille femme, deux ans après l'année où Aboul-Hossein a pété.

Aboul-Hossein s'immobilisa. Son pet était devenu une date importante dans les annales de la ville. Il était entré dans l'histoire. Et le malheureux se dit :

“Mon pet se transmettra à travers les âges aussi longtemps que les fleurs naîtront sur les palmiers ! ”

Alors il fît demi-tour en courant, il s'enfuit pour ne plus revenir, il retourna en Inde et, à jamais marqué par le temps, il vécut dans la tristesse jusqu'à sa mort. ”

Écrit par : Oncle Dan | 17/05/2008

Belle et magnifique Italie du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest.

Écrit par : tanette | 17/05/2008

J'aime beaucoup ce grand clocher.
Belle visite.
à bientôt, bonne soirée.

Écrit par : Sylvain | 17/05/2008

J'y suis allée il y a maintenant bien longtemps et tes photos donnent envie de repartir !

Écrit par : phyto | 17/05/2008

Découvrir une ville en bateau est ettement plus sympathique, j'ai beaucoup aimé le marchand de légumes sur son bateau.
Bises
Santounette

Écrit par : Santounette | 17/05/2008

Bonsoir Mamita,
Merci pour cette belle promenade au fil de l'eau !
Bises et bon dimanche,
Christian

Écrit par : christian | 17/05/2008

Bisous et bonne journée de dimanche, ici il pleut

françoise

Écrit par : francoise oleron | 18/05/2008

Coucou Mamita un bon et agréable dimanche a vous deux bisssssssssous Amitiés Marie André

Écrit par : Bouchaud | 18/05/2008

...bonjour Mamita, nous esperons que tu as le beau temps ! ici il pleut depuis trois jours...grosses bises et bon dimanche !

Écrit par : Jeanine et René | 18/05/2008

Encore plein de souvenirs, merci Mamita.
Bon dimanche, bises.

Écrit par : Louis-Paul | 18/05/2008

P'tit coucou du dimanche mamita, je t'embrasse, merci pour tes images, c'est très joli ton pays...à plus...

Écrit par : le Pierrot | 18/05/2008

Peut-être que Murano a beaucoup changé ? Moi j'avais bien aimé car c'était loin des tumultes touristiques de Venise...

On se régale ici, et au passage, on rencontre même notre célèbre conteur !

Bises et bon dimanche : nous on se concocte une p'tite virée en pays toulousain...

Écrit par : gazelle | 18/05/2008

Bon dimanche Mamita et gros bisous.

Écrit par : passion de tout | 18/05/2008

Venezia reste pour moi une ville mythique. Je ne m'en lasse pas.
Merci encore pour ces belles photos.
Bon dimanche
Paola

Écrit par : paola | 18/05/2008

Je suis les aventures des verriers avec grand intérêt ! Que j'aime tes reportages ! je voyage ...
Bisous
Hélène

Écrit par : Hélène (Cannes) | 18/05/2008

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